Se fixer des objectifs ambitieux, démarrer trop fort, se sentir invincible et puis, se rendre compte au bout d’un moment que le corps ne suit plus, que tout est alors contre-productif et que tu stagnes. Tu as déjà eu cette impression ? C’est le moment de prendre du recul, de se recentrer sur toi, tes objectifs, savoir ce qui est à prioriser, ce qui peut attendre et t’organiser en fonction de ton propre ressenti. Après deux ans d’entreprenariat et 4 ans de poursuite d’objectifs sportifs, voici quelques clés qui pourront t’aider à faire face aux tempêtes.

Si toi aussi, tu es un.e passionné.e qui se lance corps et âme dans ce qu’il fait, que parfois tu ne sais pas dire « stop » à temps, voici les conseils que je peux te donner, qui te permettront je l’espère de ralentir la cadence.

 

comment atteindre ses objectifs

 

Y aller progressivement et viser la régularité : un petit pas chaque jour vaut mieux qu’un grand tous les 3 mois.

 

Eviter le « multi-tasking »  : une tâche à la fois, vaut mieux que 10 d’un coup. La polyvalence, c’est utile, mais la spécialisation, c’est la clé de l’excellence.

 

Se concentrer sur ce qui nous apporte le maximum de satisfaction et de la valeur, donner du sens à ce qu’on fait aide à avancer plus sereinement et à garder la même motivation chaque jour. Quand on sait pourquoi on se lève, pourquoi on fait tout ça, c’est beaucoup plus facile d’être constant.

 

Identifier son « why »* (notion évoquée par Simon Sinek) : se remémorer la raison pour laquelle on fait tout ça, nous aide à perdurer. Si le désir de réussir, se dépasser est plus fort que la peur d’échouer, alors tu ressentiras de la motivation, même durant les jours « sans » ou les down.

 

Rester « dos au mur », comme le préconise « The Rock ». Le mur, c’est le passé, les tracas, etc. En se postant dos à lui, on décide de regarder en avant et de penser à avancer chaque jour vers l’objectif fixé, quoi qu’il advienne.

 

C’est dans les moments de faiblesse qu’il faut continuer à s’accrocher. Quand ça devient dur, à aucun moment tu dois abandonner. C’est ta seule façon de tout perdre. Faire une pause, oui. Tout arrêter, non. Sauf si ça met ta santé en danger bien sûr, mais si tu sens au fond de toi ce feu qui te pousse à continuer, alors ne l’éteint pas, c’est une ressource précieuse.

 

C’est dans les moments de faiblesse qu’il faut continuer à s’accrocher. Quand ça devient dur, à aucun moment tu dois abandonner. C’est ta seule façon de tout perdre. Faire une pause, oui. Tout arrêter, non.

 

Un bon entourage : je l’appelle ma « bouée de sauvetage ». En cas de tempête, ou si mon navire part à la dérive, que je traverse une dépression, j’ai les racines de mon arbre qui restent solides. Je m’entoure de personnes fiables, positives, bienveillantes et capables de me tirer vers le haut quoi qu’il advienne. Je sais qu’en cas d’échec elles sauront m’aider à remonter à la surface.

 

Abandonner l’idée de perfection : « better done than perfect » ! Il faut tenter, analyser, ajuster. Si on se trompe, ça nous apprend à mieux faire par la suite. Progresser chaque jour un peu plus aide à se développer.

 

Ce sont des outils qui peuvent t’aider, mais ne prends que ce qui te parle. Le reste, tu peux te contenter de l’avoir lu. J’espère en tout cas que tu trouveras la force de poursuivre tes rêves et tes envies ! 

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